Dream Factory, Jérôme Hamon, édition soleil (2018)
Synopsis : « Dreams Factory est un diptyque steampunk, à mi-chemin entre Hansel et Gretel, Oliver Twist et La Cité des enfants perdus. Londres, 1892. Comme la plupart des enfants de la cité ouvrière dans laquelle elle vit, Indira descend tous les jours dans les mines de charbon, sans jamais protester. Mais lorsque son petit frère Eliott disparaît, plus rien n’a d’importance… Elle se lance alors dans une quête désespérée pour le retrouver, et réalise qu’il n’est pas le seul enfant à avoir mystérieusement disparu… Toutes les pistes semblent mener à la même personne : Cathleen Sachs, la richissime propriétaire des mines de charbon. Mais pour quelle raison enlèverait-elle ces enfants ? Et ce combat n’est-il pas perdu d’avance ?… Une histoire à la fois riche en action et en émotions, contre la société de consommation et le travail des enfants. »
Pourquoi je l’ai lu :
Quand j’ai vu la couverture, je l’ai trouvée sublime. J’ai feuilleté la BD, et j’en suis tombée amoureuse. Je la voulais ! Et mon chéri me l’a offert pour mon anniversaire ! Ô joie ! Du coup je n’avais pas le choix de la lire !
Les Points Positifs
- L’histoire → On suit une jeune fille, Indira, qui vit avec son père et son petit frère, Eliott. Afin de gagner sa vie, et de nourrir sa famille, Indira doit aller travailler dans les mines. Elle s’épuise à la tâche, pour ne ramener que quelques pièces. Un matin, épuisée, elle ne parvint pas à se réveillée, et son petit frère décide d’y aller à sa place. Trop petit pour travailler, une femme le prend en charge. Indira se réveille plus tard, et se rend compte qu’Eliott à disparu. Elle fait donc tout pour pouvoir le retrouver. On est pendant la révolution industrielle au Royaume-Uni, où le travail des enfants n’était pas proscrit. J’adore cette période là, notamment car l’on peut intégrer le steampunk dans la plupart de ces récits.
- Les Personnages → J’adore la force de caractère d’Indira. Elle ne se laisse pas faire, fais tout pour retrouver son frère. Eliott est aussi adorable, un petit garçon plein d’entrain qui ne sait pas dans quel monde d’injustice il grandit. Il ne cherche qu’à s’amuser, mais est prêt à tout pour sa sœur.
- Les Dessins → Les dessins sont justes magnifiques. Je n’arrive pas à trouver les mots. Ils sont dans des tons froids, donnant le ton de l’histoire, mais aussi car on est en hiver, et qu’il neige. Il n’y a pas énormément de dialogues, mais le peu suffisent à comprendre l’histoire, les dessins sont plus éloquent. Ils arrivent à être à la fois clair et sombre, ce qui donnent des contrastes saisissant.
- Le Steampunk → Il est disséminé un peu partout dans la BD. Ce n’est pas le thème principal, mais il y a beaucoup de machines caractéristique du steampunk, et on en voit beaucoup plus à la fin du récit.
Les Points Négatifs :
- Introduction un peu trop lente et trop grande. J’espère que le tome 2 sera plus riche en action !
Conclusion : J’attend le second et dernier tome avec impatience, sachant qu’il va conclure ce diptyque. J’espère qu’il sera moins introducteur, et qu’on apprendra plus de chose.
Sylnor
« Dreams Factory est un diptyque steampunk, à mi-chemin entre Hansel et Gretel, Oliver Twist et La Cité des enfants perdus » : c’est bon tu me l’as vendu ! 😁
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Ah ah c’est juste le résumé de la 4eme de couverture ! Mais si tu aime ce genre de chose fonce, j’ai vraiment adoré ! Même si ce sont surtout les dessins qui m’ont captivé plus que tout le reste ! 😀
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